Voilà de quoi faire rever voir jalouser quelques enfants! L'école Boule a proposé un projet digne d'un roman de Boris Vian :  mettre en concret des meubles que des petits artistes en herbe ont déssiné. 

C'est drôlement touchant, complexe, circonflexe et superbement bien réalisé par les élèves de l'école.

Une belle initiative de la part de Boule. Les projets seront présentés lors de leur prochaine inauguration, avec la participation des élèves de design, d'ébénisterie et de tapisserie.

De quoi avoir envie de dormir dans un lit en forme de bonhomme et s'assoir sur un "fauteuil" multicolore. 

Pour plus d'information : 

http://boulle.paris.fr/2013/04/11/design-de-reve-les-meubles-vus-par-les-enfants

- RDV sur : http://www.lesinrocks.com/special/facedevinyl/

Terry Richardson, un enfant terrible

Né à New York en 1965, il séjourne très jeune à Woodstock, Paris et Hollywood. Avec une enfance très mouvementée, entre une mère styliste et un père photographe de mode (Bob Richardson), il fait face à des troubles psychiatriques.. "Quand ses parents se séparent, son père de 43 ans convole avec Anjelica Huston( qui en a 17) et sa mère sort avec Jimi Hendrix ". Le petit Terry, souffre de troubles psychiatriques prononcés : il entend fréquemment " des voix ". Richardson bascule alors dans la défonce et le sexe. S'il passe une grande partie de son adolescence sur la Côte Ouest - dans le milieu punk de Los Angeles, il rejoint la scène underground de l'East Village - à New York, dès le début des années 90.

La photo l'aidera à se détacher d'un père omniscient et tyrannique. Aujourd'hui, les images de Richardson sont exposées à Alleged, l'une des galeries les plus alternatives de New York.

www.terrysdiary.com

Pour info, du 26 septembre au 5 Novembre, Colette lui dédie une grande place dans son magasin : le concept-store parisien expose quelques clichés extraits du livre Mom & Dad où le photographe américain rend un hommage sans fard à ses parents

La mère de Terry Richardson pose tout naturellement devant l'objectif de son fils.

www.colette.fr/#/a/3/eshop

De la société de consommation des années 1950 à la guerre en Irak, via les Beatles, le père du Pop Art anglais a traversé le XXe siècle en "Independant". Il est mort à l'age de 89 ans.

 Son œuvre « Just what it is that makes today’s home so different, so appealing? » est l’une des premières de ce mouvement.

Comme ses confrères américains, Hamilton stigmatise surtout les clichés de la consommation à outrance. Il a également imaginé avec Paul McCartney la pochette de l’Album blanc des Beatles. Tout au long de sa vie, son travail a croisé de nombreux domaines : la peinture, la gravure, la sculpture, la typographie et le collage. Son influence sur les générations d’artistes a été et continue d’être immense.

De nombreuses expositions et rétrospectives lui avaient été consacrées. Notamment à la Tate Modern en 2002 et en 2010 à la Serpentine Gallery. En dépit de son âge, Hamilton travaillait toujours. Il mettait au point une grande rétrospective pour Los Angeles, Philadelphie, Londres et Madrid.

Le surréel & son écho

Dans ce live inédit, Chloé dépasse les zones habituellement explorées par le monde de l'électro et sort des sentiers battus afin de témoigner de sa passion pour les mouvements Surréalistes

16 septembre 2011
20h30

www.centrepompidou.fr

Thomas Millet, Hong Kong, tirage argentique, 2010
La Galerie 1161
www.lagalerie1161.com

Photoquai 2011

Créée en 2007 par le musée du quai Branly et consacrée à la photographie non occidentale, la biennale des images du monde Photoquai se déroule pour sa 3ème édition sur les quais de la Seine longeant le musée du quai Branly et se prolonge pour la première fois dans le jardin du musée.

Saluée dès sa première édition pour sa qualité, son originalité, son ambition et sa pertinence, Photoquai poursuit en 2011 sa mission d’origine : faire découvrir des artistes dont l’œuvre est inédite en Europe, susciter des échanges et des croisements de regards sur le monde.

 Pour sa troisième édition, Photoquai présente près de 400 œuvres de 46 photographes contemporains issus de 29 pays : Afrique du Sud, Congo, Ethiopie, Nigeria, Tanzanie, Togo, Maroc, Tunisie, Bahrein, Irak, Biélorussie, Russie, Chine, Corée, Inde, Japon, Taïwan, Cuba, Cambodge, Laos, Malaisie, Indonésie, Singapour, Thaïlande, Australie, Nouvelle-Zélande, Chili, Colombie, Brésil.

Le musée du quai Branly propose également au public des rendez-vous autour de cette 3ème édition : journées de rencontres avec les photographes et les commissaires invités à Paris ; des rencontres et des rendez-vous avec des professionnels de l’image à l’occasion de débats et/ou projections

 Infos pratiques

Du 13 septembre au 11 novembre 2011

Accès libre

37, quai Branly
75007 Paris

www.photoquai.fr

" Un intellectuel est quelqu'un qui regarde une saucisse et pense  à Picasso"

- Alan Patrick Herbert -

Les meilleurs friperies de Paris.

pour elle
Petite Fripe Cette boutique de poche est une niche à trésors. Des choix variés en fonction des arrivages avec, en option, un propriétaire farfelu qui se fera une joie de vous guider.
118, rue Oberkampf (XIe), métro Rue-Saint-Maur

La Caverne à fripes Cette antre en sous-sol propose sacs à main style Grace Kelly, robes courtes à la Jackie O. et, sur des tringles dégoulinantes des jupes et tuniques en tous genres. Dommage
que l’accueil laisse à désirer…
25, rue Houdon (XVIIIe), métro Abbesses

Free’p’Star Des prix très abordables dans un quartier touristique. Montez sur la mezzanine et fouillez dans les grands bacs à 1 ou 2 euros où s’entassent tops fleuris et minijupes de tennis. Ça vaut le coup d’être patiente !
61, rue de la Verrerie (IVe), métro Hôtel-de-Ville

Odetta Vintagerie de haute-voltige : pièces de créateurs des saisons passées ou très anciennes pièces du début du siècle. Budgets étudiants, ne désespérez pas : on peut toujours chiner un top
Isabel Marant de la saison passée pour une quarantaine d’euros.
76, rue des Tournelles (IIIe), métro Chemin-Vert
pour lui
The Duke A ce stade-là, on ne sait pas trop s’il s’agit d’une boutique ou d’un musée. Des blousons en cuir que portaient les soldats américains pendant la Seconde Guerre mondiale aux salopettes
très Raisins de la colère, tous les totems du vestiaire américain sont ici réunis.
Marché Vermaison, stand n° 37, alléeA, Saint-Ouen, métro Porte-de-Clignancourt

Adom Chez Adom, les vendeurs ont de la gouaille, du style et ils connaissent ce qu’ils vendent. La preuve, aux murs des Levi’s Big E (fabriqués avant 1971).
35 et 56, rue de la Roquette (XIe), métro Bréguet-Sabin

Oh Lumière On trouve ici de tout, souvent, et du n’importe quoi, parfois, mais c’est l’intérêt du lieu. A vous de faire le tri pour trouver la bonne paire de Van’s ou la veste Lee qui fera sensation une fois sur vos épaules.
21, avenue de la République (XIe), métro République

Mamie Swing Time et Mamie Blue Temples des costumiers de cinéma et des collectionneurs, les deux boutiques regorgent de merveilles rétro : pantalons de golf années 30, chemises de zazous, kimonos japonais d’après-guerre, etc.
69 et 73, rue de Rochechouart (IXe), métro Barbès

pour elle et lui
Guérisol Champion toutes catégories de la fripe la moins chère de Paris : il suffit de prendre un panier pour faire votre marché entre les bacs – de la Stan Smith aux méduses (5 à 10 euros). Au milieu des montagnes de pièces immondes, il est toujours possible de tomber sur un splendide pull en laine irlandaise pour l’hiver ou une superbe veste seersucker à un prix dérisoire.
29, avenue de Clichy (XVIIIe) pour elle, 17 bis, boulevard de Rochechouart (IXe) pour lui, métro Barbès-Rochechouart

Génération de l'air

Le magazine de l’air a été créé en 2000 à Paris. Il est né d’un désir, celui de donner à voir des photographies qui racontent les mondes d’aujourd’hui.

Le magazine a fêté ses 10 ans l’année dernière et a publié depuis de nombreux reportages en textes et en images, toujours à la recherche d’auteurs singuliers. Il ose, réussit, échoue, réjouit, déplaît, déçoit, enivre, dévoile, déniche, ouvre des routes, de l’air s’autorise tous les sujets, toutes les écritures.

L’exposition rend compte de cette génération de photographes qui a émergé dans les pages de la revue, 30 regards autour de thèmes qui lui sont chers tels que le paysage, la nuit, le portrait, le nu…

Les heureux élus: Olivier Culmann, Floriane de Lassée, Bertrand Desprez, Alinka Echeverria, Guillaume Herbaut, Eric Larrayadieu, Florent Mattei, Patrick Messina, Laurent Monlaü, Olivier Roller, Sonia Sieff, Flore-Aël, Surun, Patrick Swirc, Linda Tuloup, Elene Usdin, Dune Varela...

Infos pratiques

jusqu'au → 25 septembre 2011

MEP, maison europeenne de la photographie

5-7, rue de Fourcy
75004 Paris

www.slash.fr/generation-de-lair